Thursday, October 14, 2010

La dette Francaise explose et la "Politique" derappe aveuglement....manque de courage et de clairevoyance.


- La France emprunte 1 milliard d 'euros par jour ouvrable aux marchés.....

- La dette de la France s'élève à ce jour à 1693 milliards d'euros (lien : http://cluaran.free.fr/dette.html )

- Les intérêts sur la dette publique s'élèvent à ce jour à 1444 milliards d'euros (lien : http://www.societal.org/dette/interets.htm )

Avec le Mossadnik Nicolas Sarkozy....La dégradation de la note du pays, n'est qu'une question de temps....



http://poorrichards-blog.blogspot.com/2010/10/revolution-and-american-indians-marxism.html

http://mostaqueali.blogspot.com/2010/10/revolting-france.html

http://www.viepolitique.net/dossier10.html


http://www.mecanopolis.org/?p=20711

Nicolas Sarkozy était imbu de sa personne, il était néanmoins le plus américanolâtre de tous les présidents français. Sans blague ? Les ambassadeurs américains ont sans doute dû déduire cela en le voyant courir affublé de son survêtement NYPD “New York police d’Etat”. Question à six sous : Et les services secrets US doublés du Mossad, ils n’y auraient pas contribué un petit peu par hasard ? Il est certain que la principale action de Sarkozy au cours de ces dernières années n’est pas d’avoir nettoyé les banlieues au Karcher (poudre aux yeux pour ceux qui croient encore à la démoncratie) mais d’avoir nettoyé les principaux rouages de l’Etat au savon de Tel-Aviv. La France est aujourd’hui occupée par un étranger. Tel est le fond du problème.....

http://www.leap2020.eu/GEAB-N-50-est-disponible--Crise-Systemique-Globale-Second-Semestre-2011-Contexte-europeen-et-catalyseur-US-Explosion-de_a5617.html


http://www.realclearworld.com/articles/2010/10/22/europe_spending_itself_to_death_99244.html

La France est malade du cruel manque de courage et de lucidité de ses elites et de ses dirigeants minables....depuis la mort de De Gaulle...

http://www.counterpunch.org/whitney10222010.html

La dette Francaise explose et la "Politique" derappe aveuglement....manque de courage et de clairevoyance.

Concernant la dette française (1’600 milliards d’euros, soit 100’000 euros par famille française à rembourser). Vu sous cet angle, la réformette des retraites et les manifs à la con qui secouent actuellement la France nous laissent perplexes. L’arbrisseau des retraites cache l’Amazonie de la dette. Les récentes interventions télévisées des uns (unes) et des autres sont d’une hypocrisie et d’un anachronisme bêtes à bouffer du foin. Mis à part quelques Sites Internet tel que Contrepoints par exemple, rien, dans le paysage audiovisuel français, ne laisse transpirer la moindre gouttelette de bon sens.

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Ainsi, je lis, aujourd’hui, mercredi 13 octobre 2010, sur Contrepoints, cette analyse très lucide et pertinente (extraits) : « …selon les prévisions gouvernementales, la dette publique explosera en 2011, passant à 86,2% du PIB (4 points de PIB en plus d’endettement, voilà de la rigueur !). Mais cela continue pour 2012 : on devrait alors atteindre 87,4% du PIB. Selon le gouvernement lui-même, un léger recul de la dette ne devrait s’amorcer qu’à partir de 2013 (curieusement après les présidentielles). Le jeu de cache-cache avec les chiffres est déjà pratiqué aujourd’hui. On nous a dit 82,9% du PIB pour l’année 2010 ? Mais on vient d’apprendre que notre dette atteignait déjà ce niveau à la fin du second trimestre 2010, six mois plus tôt que prévu. Où en serons-nous en 2011 et 2012 ? A plus long terme, la prévision de réduction du déficit, à 72 milliards en 2012, 54 en 2013 et 44 en 2014, soit respectivement 4,6%, 3% et 2% du PIB fait sourire tout le monde, à commencer par Bruxelles : cela fait des années que la France promet de passer en dessous des fameux 3% de déficit, maximum fixé par les traités européens… (…) ».

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« Le service de la dette publique est une charge de plus en plus lourde. Naguère deuxième poste du budget, après l’Education Nationale et avant la défense, il a pris la première place cette année. Le paiement des intérêts de la dette deviendra en 2011 le premier poste du budget : 46,9 milliards, contre 44,5 pour l’Education nationale (et 30,1 pour la défense). Avant même de songer à la moindre dépense publique, il faut déjà réserver 46,9 milliards pour payer les intérêts de la dette ! Et encore sommes-nous dans une période de très faibles taux d’intérêt. C’est d’ailleurs ce qui explique l’optimisme affiché par les gouvernements : on peut emprunter à bon compte pour honorer les dettes accumulées, intérêt et principal, foi d’animal ».

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« Les Français comprennent-ils l’enjeu de cette charge ? Leur parler d’une dette publique qui a dépassé les 1600 milliards, c’est trop abstrait. Mais on peut leur dire qu’elle représente plus de 25 000 euros par personne, soit plus de 100 000 euros pour la famille française moyenne, à rembourser dans les vingt ou trente années qui viennent. Dire que la dette absorbe une part croissante de l’épargne est abstrait ; mais expliquer que plus l’Etat emprunte, moins les entreprises ont d’argent pour investir et créer des emplois est concret. Dire que le budget est financé à crédit est abstrait ; mais dire que nous faisons payer à nos enfants nos folles dépenses de fonctionnement d’aujourd’hui, nos salaires de fonctionnaires et nos prestations d’assurance-maladie est concret et chacun comprend que c’est immoral : nous volons nos enfants et tout ça pour leur léguer une économie en perdition (…) ».

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« On peut toujours calmer ou distraire le public en parlant de dettes « souveraines ». La dette d’un particulier ou d’une entreprise peut inquiéter, surtout quand on a la crainte qu’elle ne soit pas remboursée. Rien de tel avec la dette de l’Etat, car elle est ‘souveraine’. On n’hésite pas devant l’oxymoron : être souverain, c’est ne dépendre de personne, être débiteur c’est se mettre sous la dépendance d’un autre. Que peut bien être un débiteur souverain ? (…) L’acharnement de nos gouvernants à ne rien vouloir changer en profondeur, à défendre à tout prix l’Etat providence et les dépenses publiques, à privilégier le court terme et pour tout dire à refuser les réformes, est suicidaire. Cela conduit à l’endettement durable, et c’est la ruine assurée pour tous. Le budget 2011 ne fait que poursuivre dans cette voie sans issue » (Fin des extraits de l’analyse publiée par Contrepoints).

http://www.contrepoints.org/2010/10/13/3680-lendettement-durable

Ce résultat, cet effet, sont logiques. Ils européanisent peut-être, mais ils portent en eux, surtout, la mort.

Et ce doit être souligné : il n’y a pas de rêve européen, non. Il n’y en a jamais eu. Il y a eu, peut-être, des illusions européennes .

Il y a désormais un cauchemar européen, voire pire qu’un cauchemar parce qu’à la fin d’un cauchemar il y a un réveil, alors qu’en ce cas, il n’y aura pas de réveil, mais juste l’ultime sommeil. Il y a une maladie européenne. Il y a surtout un fait, qu’il faut regarder en face : l’Europe est morte.

Il y a, sur le cadavre de l’Europe, ce qui ressemble à des signes de vie : des gens qui s’agitent, parlent, manifestent et vocifèrent dans les rues parfois. Mais cela ne change rien à l’état de mort clinique.

Vouloir injecter en Amérique les substances qui ont provoqué la mort de l’Europe est bien davantage qu’irresponsable. Je pourrais presque dire que c’est criminel.

Quelles sont ces substances. ?

L’Europe, dirai-je, est marquée par un échec historique. La Révolution américaine fut une révolution réussie, qui a débouché sur les institutions américaines et sur un état de Droit. La Révolution qui a marqué au plus profond l’Europe a été la Révolution française, et celle-ci a été un échec sanglant analysé et anticipé dès 1790 par Edmund Burke dans ses « Reflections on the Revolution in France ». Pour la première fois, des intellectuels porteurs d’un dogme ont eu le pouvoir absolu dans une société et ont eu l’opportunité de la remodeler : l’idée que des intellectuels peuvent prendre le pouvoir et exercer un pouvoir absolu n’a cessé ensuite de hanter les esprits des intellectuels européens, tout comme l’idée qu’on peut remodeler une société au nom d’un dogme. Ces idées sont la matrice de tous les totalitarismes modernes. Il existe en Europe une tentation totalitaire qui ne cesse de revenir, une prétention multiforme à remodeler les sociétés au nom de dogmes, des intellectuels tentés par le pouvoir absolu. La tentation totalitaire, la prétention à remodeler, la tentation du pouvoir absolu chez les intellectuels sont des dangers très graves.

L’Europe aujourd’hui reste marquée par ces dangers : le nazisme, le fascisme, le socialisme, le communisme sont nés en Europe. Nazisme et fascisme y ont quasiment disparu après avoir occasionné les dégâts qu’on sait. Le communisme y subsiste sous divers atours. Le socialisme est omniprésent. La volonté de remodeler et la tentation du pouvoir absolu s’incarnent dans les institutions de l’Union Européenne.

L’Europe en ces conditions est dirigiste et étatiste. Quasiment tous les partis politiques existant en Europe aujourd’hui sont dirigistes et étatistes, de l’extrême gauche à l’extrême droite en passant par le centre. Quasiment tous les partis politiques en Europe trouveraient leur place aux Etats-Unis au sein d’une aile du parti démocrate ou chez les paléo conservateurs tels Pat Buchanan. Aucun parti n’incarne vraiment les valeurs du parti républicain américain et du conservatisme américain. En France, les deux principaux partis politiques représenteraient deux branches du parti démocrate, et rien d’autre. Le dirigisme et l’étatisme ont asphyxié les idées de liberté individuelle et de libre entreprise.

L’Europe, pour les mêmes raisons, est constituée d’économies mixtes, autrement dit d’économies où les entrepreneurs, pour agir, doivent se soumettre à la tutelle de bureaucrates et de technocrates, comme les serfs de l’ancien régime devaient se soumettre à leurs seigneurs et maîtres. Dans le plus célèbre de ses livres, le grand économiste Friedrich Hayek parle de « la route de la servitude » : l’Europe est très avancée sur la route de la servitude.

L’Europe est constituée à des degrés divers d’Etats providence impliquant qu’une part croissante des populations vit essentiellement de subventions et d’allocations gouvernementales, en situation de dépendance et de passivité. L’expansion de la dépendance et de la passivité chez ses habitants est toujours un poison pour une société. La dépendance et la passivité détruisent les incitations à aller de l’avant, à découvrir, à agir, à pratiquer le libre choix et à défendre la liberté individuelle.

Il n’y a pas de Steve Jobs européen, pas de Bill Gates européen, pas d’Appel, de Microsoft ou de Google européen. Et il ne peut y en avoir pour toutes les raisons que je viens d’énoncer.

Les pratiques culturelles en Europe sont subventionnées elles-mêmes à des degrés divers, et le contenu des œuvres reflète souvent ce qui découle de l’idée de subvention : une addiction à l’Etat et à la redistribution, et une vision du monde qui découle de cette addiction....


Aujourd'hui en 2010 la dette de la France s'élève à 1500 milliards
d'euros, ce qui nous coûte la somme colossale de 135 millions d'euros par
jour !

Historique de la dette :

3 janvier 1973, réforme de la Banque de France par Pompidou ancien
directeur de la banque Rothschild.

Dans la loi portant sur la réforme des statuts de la banque de France,
nous trouvons en particulier cet article 25 très court, qui bloque toute
possibilité d'avance au trésor :

« Le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à
l'escompte de la banque de France. »

Ce qui signifie que l'article 25 de la loi 73-7 du 3 janvier 1973
interdit à la Banque de France de faire crédit à l'État, condamnant la
France à se tourner vers des banques privées et à payer des intérêts ;
alors qu'avant cette loi, quand l'État empruntait de l'argent, il le
faisait auprès de la banque de France qui, lui appartenant, lui prêtait
sans intérêt.

Autrement dit : auparavant, l'État français avait le droit de battre
monnaie, et avec cette nouvelle loi, il perd ce droit qui est du même
coup légué aux banques privées, qui en profitent pour s'enrichir aux
dépends de l'État en lui prêtant avec intérêt l'argent dont il a besoin.

Cette décision correspond à une privatisation de l'argent et ramène la
nation au même rang que n'importe lequel de ses citoyens.

L'accroissement sans fond de la dette publique trouve son origine
précisément là. Voici en effet un graphique représentant l'évolution de
la dette, avec et sans intérêt. La courbe rouge représente bien sûr la
dette constatée, calculée avec les intérêts.

La dette à fin 1979 était de 239 milliards d'euros, déjà injustifiables ;
la dette à fin 2008 s'établit à 1327 milliards d'euros ! Ainsi, entre
1980 et 2008, la dette a augmenté de 1088 milliards d'euros et nous avons
payé 1306 milliards d'euros d'intérêts.

Giscard était à l'époque le ministre des finances de Pompidou, le valet
de la banque Rothschild.

1327 - 1306 = 21 Milliards d'Euros ! : Si nous avions pu créer notre
monnaie — faire exactement ce qu'ont le droit de faire les banques
privées —, la dette publique serait quasiment inexistante aujourd'hui.

Georges Pompidou a été le directeur général de la banque Rothschild ; il
en était le valet, il n'est par conséquent pas étonnant qu'il ait fait
cette loi du 3 janvier 1973 qui interdit à l'État français de battre
monnaie et qui a endetté la France d'une façon structurelle et
incommensurable auprès de banques privées comme la banque Rothschild.

C'est pourquoi, cette loi, on propose de l'appeler désormais la loi
Rothschild.....

http://konigsberg.over-blog.com/article-a-qui-profite-la-
dette-58997133.html


Hervé Morin parle trop vite et prend les Français pour des "cons"....

Le remaniement mettrait-il les nerfs des ministres à rude épreuve? Quoi qu'il en soit, les lapsus s'enchaînent au sein de la majorité.

Après Luc Chatel qui s'autoproclame Premier ministre avant le remaniement, Rachida Dati et son fameux "fellation" à la place d'inflation ou encore Brice Hortefeux et ses "empreintes génitales" au lieu de digitales, voici qu'Hervé Morin, le ministre de la Défense, apporte à son tour sa contribution au palmarès.

Sur la radio Beur FM cette semaine, le ministre de la Défense a tenté de justifier la présence française en Afghanistan en expliquant qu'il était difficile de faire comprendre "à des cons" que la défense de la France se jouait à 7000 km de son territoire....


La fin est proche.....

-Les fameux PIIGS sont obligés d'emprunter à des taux de plus en plus élevés. Si la FED élève son taux de base ça sera encore pire.

-Mai 2010, au moins 2 grosses banques européennes furent pendant quelques heures en cessation de paiement. La situation fut si tendue que les USA réactivèrent les accords de swap.

-Facteurs aggravants: Les ratio d'endettement de nos grosses banques européennes qui sont absolument hors-normes. Particulièrment en France, si une de nos 4 grosses banques fait faillite, tout le système s'écroule. Le montant cumulé des dettes de ces banques représentent plus de 3 fois le PIB français. Ne parlons pas bien sûr de la dette publique.

Ce n'est pas un hasard si des rumeurs de plus en plus insistantes éclosent à propos de la perte par la France de sa note AAA. Si cette évantualité se concrétise, cela signifie que nous ne pourrions plus emprunter aux taux préférentiels actuels. Les effets en seraient désastreux.

les remêdes?

-sortir de l'Euro, revenir au franc, dévaluer le franc avec un taux de change fluctuant.

-démanteler les grosses banques, les recapitaliser, et forcer les dirigeants de ces banques à respecter les règles prudentielles élémentaires sous peine de graves sanctions

-Baisser le taux d'imposition absolument ahurrissant dans notre pays, particulièrment en ce qui concerne le travail.

Qui aura le courage en France de prendre de telles mesures? Personne pour l'instant. Il faudra pour cela que nous soyons au pied du mur. Cette échéance est je pense maintenenant proche.....

Ceux qui mettront des conditions pour "sauver l'Euro" ce sont les Allemands. Et les conditions qu'ils mettront seront tout simplement inacceptables pour les autre pays de la zone. En effet, on peut s'attendre à ce que les Allemands demandent à avoir tous les leviers pour diriger l'utopique gouvernement économique de l'Union. Hitler a échoué dans sa tentative d'unir l'Europe sous le IIIe Reich au prix de millions de morts, il reste à voir si l'Allemagne d'aujourd'hui peut y parvenir sans déclencher à travers l'Europe toute une collection de guerres civiles. Dans la mesure où, comme vous le dites, l'Europe s'est construite contre ses propres peuples, il n'y a pas d'alternative, dans un avenir prévisible, à l'émergence de conflits violents quelle que soit la voie suivie.....


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